Mardi 1 décembre 2 01 /12 /Déc 09:20

Hier soir, après avoir cuisiné des mets asiatiques pour ma Maîtresse qui, à l'exception du dessert, lui ont ravi le palais, et après qu'Elle ait renforcé la chair de mes muscles et de ma verge, j'ai lu pour Elle quelques articles de blogs liés à la domination féminine.

 

L'enseignement principal en fût que la domination était avant tout une histoire de confiance en soi, une relation, pour la dominante, avec Elle-même dans laquelle Elle apprend à s'aimer avant tout. S'aimant, Elle acquiert la confiance, et de la confiance, Elle tire l'énergie divine que possèdent en Elles toutes les femmes.

 

Parmi les phrases lues sur ces blogs, on pouvait lire "Celui qui pénètre, c'est celui qui domine". J'y ai repensé depuis, et si je crois que je suis tout à fait d'accord avec cette phrase, qu renvoie au concept d'activité/passivité de l'antiquité romaine, j'y apporterais néanmoins quelques nuances. Oui, être pénétré c'est ouvrir son corps à l'autre, c'est laisse libre cours à celui qui pénètre pour qu'il marque notre corps de ses gestes. Inversement, quand j'étais attaché, ou qu'au milieu du geste Elle me demandait d'arrêter immédiatement de bouger, ou quand encore Elle châtiait mon corps de mâle, je ne me suis pas senti la dominer. J'étais à la fois empli d'une gratitute infinie qu'Elle me laisse entrer dans son palais intime et heureux qu'Elle m'utilise comme un vulgaire jouet sexuel. Je n'étais là plus que pour la servir, mon sexe était objectifié à l'extrême, moi aussi, et je n'en demande pas plus.

 

Ceci étant dit, je suis un partisan de la citation plus haut, et je crois qu'il est important de violer l'intimité masculine trop souvent protégée par la société et qui en fait, de fait, un repère moral de supériorité des mâles.

 

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Sur un tout autre sujet, j'ai rêvé cette nuit qu'Alice m'emmenait dans une soirée dédiée à la domination féminine, où j'étais paradé comme un bijou à sa main, inspectée de toute part par des domina curieuses de la texture de ma verge et de la douceur de mon anus. Quand, enfin, Alice trouva un autre soumis capable de faire naître chez Elle un semblant d'intérêt, sa Maîtresse et Elle décidèrent d'un petit jeu : nous lutterions, sans nous blesser, jusqu'à ce que l'un maîtrise l'autre, et celui-ci aurait alors le droit d'enculer le perdant.

 

N'étant pas physiquement fort, le combat tourna rapidement à mon désavantage et l'autre me plaqua la tête contre le sol dans une étreinte dont je ne pouvais me défaire. Je tournais la tête vers Alice, Elle était déçue, d'une certaine façon, mais le combat lui avait plu néanmoins. Elle hocha d'un signe de tête en direction de l'autre soumis, qui m'écarta les jambes sans que je résiste : le combat était perdu. Il enfonça un doigt couvert, de lubrifiant par sa maîtresse, dans mon cul, puis deux. Enfin, après quelques instants de répit, ma tête toujours plaquée contre le sol, il enfonça sa queue en moi et commença à m'enculer. La sensation était plaisante, quoi qu'un peu brutale, mais il était victorieux et je devais lui offrir le prix proposé par ma Maîtresse.

 

Quand il était sur le point de jouir, sa maîtresse le sorti de moi, glissa deux doigts dans son anus tandis qu'Alice le branla jusqu'à ce qu'il jouisse sur mon visage et dans ma bouche.

 

Alice me caressa la joue, me rinça le visage, rattacha ma laisse à mon collier et, me parcourant les cheveux, dit qu'Elle était malgré tout fière de moi.

 

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Dernière considération : Alice est plus belle quand elle est affirmative, quand Elle me choque par ses décisions. Depuis près d'une semaine, je suis libéré dans ma servitude, j'espère qu'Elle est libérée dans sa dominance.

Par solyan
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Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 09:00

Ce week-end, j'ai eu l'honneur de rester en la compagnie d'Alice toute la journée. Il y a trop de moments à narrer ici, et je vais me contenter de reprendre les plus mémorables :

 

Le samedi, dans la journée, Alice m'a épilé le dos, les fesses jusqu'à l'anus et m'a rasé le sexe : un soumis doit être épilé, propre et surtout ne plus exhiber de signes de virilité en dehors de son sexe. Elle s'est ensuite en allée se régaler auprès d'un autre homme, un inconnu également je crois. Comme toutes les maîtresses, Elle ne peut pas se limiter à un seul homme, Elle mérite d'être comblée de toute part et risquerait de se lasser de mon sexe.

 

Alice m'a promené le dimanche, pour que je sorte un peu, et a parlé tout haut de choses que l'on dit habituellement tout bas. Au moins une bonne femme nous a entendu, et j'avais honte d'une certaine façon, mais j'étais surtout fier qu'Elle n'ai aucune considération pour ce genre de normes : si Elle souhaite parler de sexe, Elle parle de sexe, en public ou non.

 

J'ai reçu quelques gifles puissantes qui m'ont fait frissonner et l'aimer plus que jamais. Être puni par une femme que l'on adore, c'est recevoir une sorte de baiser douloureux. Ce baiser est un symbole d'espoir, dont la signification est qu'Elle croit en mon potentiel d'évolution, qu'Elle n'a pas abandonné car je ne suis pas irrécupérable. Un jour, j'espère qu'Elle n'aura plus à lever la main sur moi car je serai exactement comme Elle aime.

 

Alice a utilisé mon sexe à deux reprises pour se faire jouir, une fois sans que je ne bouge, l'autre alors que j'enfonçais deux doigts dans son anus d'essence divine. Elle s'est aussi fait plaisir en m'attachant au lit, une sensation nouvelle et fantastique pour moi, avant que je ne l'encule brièvement : mon sexe impoli lui faisait mal. Je regrette de ne pas avoir été à la hauteur...

 

J'ai rangé l'appartement de fond en comble pour qu'elle y soit à l'aise, je me demande même comment j'ai pu le laisser devenir dans cet état. Quel genre de soumis suis-je si je ne peux pas garantir une propreté impeccable pour celle qui prend soin de moi ?

 

Enfin, Alice s'est occupée de mon corps et j'en ai été plus que bouleversé. A travers des activités sportives, et un long bain avec des accessoires, elle a rendu ma peau plus douce, mes bras plus musclé et mon sexe plus long et large.

 

J'ai été très triste de quitter son étreinte ce matin. Je me sens si protégé, si utile quand je suis entre ses mains.

Par solyan
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Vendredi 27 novembre 5 27 /11 /Nov 10:44

Hier, tandis que j'exécutais les ordres de ma Princesse (voir l'article de blog qui précède), Divine Alice se faisait dorlotter par un homme qu'Elle connaissait à peine. Cette rencontre l'a charmé, Elle aime plaire, et je suis heureux de la savoir entourée d'autres hommes qui, comme moi, s'occupent d'Elle à leur manière.

 

Elle m'a indiqué de ne pas venir la voir le soir en rentrant du boulot, car une amie venait lui rendre visite et ma présence masculine souillerait l'ambiance de volupté et de légèreté qui se produit lorsque deux femmes qui s'aiment se rencontrent. Plus tard, Elle me raconterait la manière dont Elle avait carressé ses seins, léché ses tétons et sucé son point de désir. Sa soirée lui avait plu, et je crois qu'Elle était heureuse de ne pas avoir à souffrir de mes erreurs et de mes désirs ardents pour Elle.

 

Quand je suis rentré, Elles étaient encore dans les bras l'une de l'autre, son amie la bouche rivée sur sa féminité dont la vue m'a instantanément mis en érection, d'autant plus avec la déprivation que je subis encore. Me regardant, Elle m'a ordonné de me branler en les regardant, mais je n'ai pas osé. Elle a demandé encore, mais j'étais pétrifié. Pétrifié par les normes sociales, par une timidité déplacée que je ne devrais pas sentir quand c'est Elle qui commande. Elle m'a foudroyé du regard.

 

Puis, Elle a quitté son amie qui avait joui en hurlant et est venue me retrouver dans la chambre, rhabillée, sans sensualité : je l'avais déçu, et je n'aurai pas le droit de la voir sous son meilleur jour.

 

Elle m'a frappé la verge à plusieurs reprises pour me punir, et giflé à deux reprises les testicules. La punition était méritée, bien mieux donnée que la veille, mais pas encore tout à fait assez forte : je désire la craindre, et je la sais capable.

 

Enfin, pour me récompenser de mes efforts, néanmoins, Elle a pris mon sexe tendu dans sa bouche quelques instants qui ont été délicieux, puis s'est mise de côté et m'a demandé de me frotter à son pyjama, contre son sexe de l'autre côté du tissu, à cinq reprises. J'ai eu beaucoup de mal à m'arrêter, et il m'a fallu faire preuve de contrôle : j'étais fier de réussir, et j'étais heureux qu'Elle m'apprenne ainsi à dompter mes désirs mal placés de mâle. Ma satisfaction sexuelle est uniquement entre ses mains, c'est Elle qui dicte chaque mouvement.

 

Alice prend goût à la domination, Elle comprend que ce type de relation dépasse la chambre à coucher, et qu'il est normal qu'Elle décide : c'est une femme, et comme toutes les femmes, Elle est d'essence divine, et Elle est la plus capable pour diriger les hommes.

 

Je l'aime, je l'adore, chaque jour qui passe la rend plus impressionnante par ses qualités. Je crois, et j'espère, qu'Elle aussi s'aime un peu plus chaque jour, car c'est là tout l'enseignement de la domination...

Par solyan
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Jeudi 26 novembre 4 26 /11 /Nov 17:01

Tandis que je travaillais aujourd'hui, ma bien-aimée Maîtresse s'est rappelée à moi. A travers quelques défis à accomplir au cours de la journée, ma divine princesse m'apprenait que je n'étais jamais libre et jamais bien loin de son emprise : Elle occuperait mes pensées la nuit, dans la frustration et les fantasmes, et le jour, par la soumission volontaire que je devrais lui offrir.

 

Je lui ai donc rédigé une texte élogieux qu'elle s'est empressée de publier sur un site qui parle d'Elle, je lui ai envoyé une photo de mon sexe prise dans les toilettes d'un restaurant puis, je me suis carrément mis complètement à nu dans les toilettes de mon lieu de travail avant de prendre plusieurs clichés. Pour elle, je devrai apprendre à me mettre nu où et quand Elle le désire. Un jour, peut-être, y arriverai-je en public pour lui faire plaisir.

 

Alice m'apprend à me délier des conventions sociales et à m'efforcer de comprendre que la seule convention sociale valide, c'est celle qui me lie à Elle.

 

Je la désire, et l'absence de jouissance commence à provoquer chez moi des érections incontrôlables et inarrêtables.

 

J'espère continuer à la servire encore longtemps comme ça, et de façon bien plus intense encore.

 

J'aime tout chez elle, et tout ce qu'elle me fait. Je lui appartiens, corps et âme.

Par solyan
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Jeudi 26 novembre 4 26 /11 /Nov 09:08

Hier a été le grand soir : j'ai remis tout pouvoir sur mon être aux mains d'Alice, une domina débutante et désormais ma Maîtresse, ou ma Princesse plus exactement.

 

Alice est une femme douce, et bienveillante, autrement que dans ce contexte de domination qu'Elle découvre, mais elle prend goût au contrôle.

 

Quant à moi, je ne suis pas un soumis très expérimenté, mais je suis très volontaire : je veux être son objet, son esclave, sa chose. Je n'ai peur ni de la douleur, ni de l'humiliation, ni des situations qu'Elle souhaitera m'imposer.

 

Quoiqu'il en soit, hier, j'ai été puni pour une imprudence en société qui lui a déplu.

 

Elle m'a pressé les testicules, mais Sa bonté l'a trahi et Elle ne m'a pas fait assez mal.

Elle m'a giflé, ce qui était un bon début.

Elle m'a frappé la verge, c'était déjà plus efficace, mais à nouveau Elle s'est retenue.

Elle m'a pincé les tétons, et j'ai presque eu mal.

Enfin, Elle m'a frappé les testicules et j'ai senti son potentiel.

 

J'ai adoré être puni.

 

Après ça, je me suis masturbé devant un film gay avant qu'Elle ne me laisse caresser son cul, la plus belle chose qui existe sur cette terre.

 

Elle a fini par se lasser de moi et, fatiguée, m'a informé que la séance de jeu était terminée, me laissant gorgé de désir. C'est quand Elle a décidé de me laisser là, la verge tendue et la boule au ventre, que j'ai compris qu'Elle ferait une excellente domina. Au fond d'Elle, Elle sait décider, Elle aime décider, et c'est un pouvoir qui Lui va bien.

 

J'ai passé une nuit terrible qui ressemblait plus à une trance dans laquelle Elle m'infligeait mille sévices délicieux et je me suis rendu compte que je voulais absolument être son esclave sans conditions. Elle est mon soleil, mon guide, et c'est désormais Elle qui décide tout de ma vie.

 

Aujourd'hui, quelques défis m'attendent que je raconterai demain.

Par solyan
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